Dès fin janvier, le maire en place nous a annoncé une « bataille sanglante »
Il n’avait pas pris la mesure de son impopularité.
Le pouvoir solitaire rend aveugle, surtout quand les principaux conseillers ne sont plus écoutés ou prennent leurs distances.
La difficulté de réunir 14 candidats autour de soi aurait du être significative.
Rien de tout cela n’a touché notre bon vieux « gourou »
Quelqu’un nous avait envoyé un message sur le suicide collectif de « l’ordre du temple solaire » que nous n’avons pas publié.
Une éminente figure du village qualifiait la liste d’Emmanuel Riehl de « tous ceux qui ont un problème avec Wéber », il ne pensait pas qu’il y en aurait autant.
Emmanuel et Jean ont été récompensés de leurs efforts, avec le porte à porte, ils ont rencontré et convaincu un grand nombre d’électeurs.
Le « Glauque Blog » et le comité de soutien ont surpris de bout en bout et les stratèges en face n’ont jamais réussi à reprendre l’initiative, ils ont sans arrêt, battu en retraite. ( Leitmotiv : ils ne comprennent rien)
Une « affaire de cimetière » qui était une lamentable manipulation.
Un courrier « dégueulasse » au président de la ligue des droits de l’homme.
Une menace de dépôt de plainte envers une conseillère dissidente.
Quelques vols de corbeaux plus ou moins anonymes, un ou deux tracts tardifs de « looseurs » dont la réputation n’est plus à faire et voilà le résultat.
Conclusions :
- Pas d’effusion de sang, encore une promesse en l’air.
- Un littéraire qui a complètement oublié « le chêne et le roseau »
- Une bataille perdue à jamais, malgré les tentatives de manipulation.
- Une occasion ratée de devenir maire honoraire, notre « palmé »
En 1968, c’était « US, go home »
40 ans plus tard, les électeurs d’Abresch ont dit
« WEBER, go home »